Publié le 20/01/2023
En premier lieu, l'employeur ou le gestionnaire du parc doit réaliser un état des lieux de l'existant. L'enjeu est à la fois d'évaluer l'état de la flotte automobile de l'entreprise, mais également les besoins de mobilité des collaborateurs. Cette analyse doit porter sur plusieurs points essentiels :
ou encore les attentes spécifiques des conducteurs.
Bon à savoir : En 2021, 805 941 voitures particulières (VP) et véhicules utilitaires légers (VUL) ont été immatriculés par les entreprises.
Comme le stipule la loi d'orientation des mobilités, les entreprises privées gérant un parc de plus de 100 véhicules ont l'obligation d'intégrer une part croissante de véhicules à faibles émissions (VFE) à leur flotte. Lors des renouvellements annuels, les VFE doivent compter pour au moins (2) :
Pour les autres entreprises, la réduction des émissions de CO2 est également un enjeu de taille, notamment en raison des contraintes de plus en plus nombreuses (malus écologique, zones à faibles émissions mobilité, etc.).
L’entreprise doit sélectionner des véhicules adaptés à ses besoins d’usage, mais également à l’état actuel de son parc auto et à la réglementation applicable. Pour cela, plusieurs critères doivent être étudiés.
Après avoir identifié les véhicules dont elle a besoin, l’entreprise doit s’interroger sur la concrétisation du renouvellement de sa flotte automobile, et ce, sur plusieurs éléments essentiels.
A lire aussi :
Sources :(1) Bilan marché 2021 - Arval Mobility Observatory - 2022(2) Développer l'automobile propre et les voitures électriques - Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires - 2022(3) Baromètre des Flottes et de la Mobilité 2021- Arval Mobility Observatory - 2021