Publié le 30/10/2018
C’est un indépendant qui travaille à son compte pour différents clients. Entrepreneur individuel, auto-entrepreneur, gérant d’une société ou recourant au portage salarial… différents statuts existent, tous synonymes, pour vous, d’absence totale de formalités. Le free-lance facture ses prestations à l’entreprise qui le fait travailler et gère lui-même sa paie et ses cotisations sociales. Environ 700 000 personnes travaillent ainsi en France.
Développeurs informatiques, créatifs, graphistes, webmasters, traducteurs, rédacteurs… certains métiers se prêtent davantage que d’autres au statut de free-lance. Mais il est tout à fait possible de recruter en free-lance un chef de projet, un consultant en organisation, une assistante ou même un spécialiste des réseaux sociaux.
Selon le domaine d’activité, le niveau d’expertise et le volume de travail commandé, le taux horaire s’étend de 30 à 150 € HT.
Devis, contrat, facturation… La prestation d’un free lance est, pour votre entreprise, un achat comme un autre. Le règlement s’effectue au terme de la mission ou à la fin de chaque mois s’il s’agit d’une prestation de longue durée.
Opérant en général à l’extérieur (à son domicile, dans un espace de coworking ou dans ses propres locaux professionnels), un free-lance peut aussi être amené à intervenir chez son client.
Il est rémunéré soit au forfait, soit au temps passé.
Plusieurs plateformes de mise en relation entre entreprises et freelances existent, le plus souvent gratuites pour le client. Commissionnées par le travailleur indépendant, elles peuvent, sur demande, se charger de la gestion des devis, de la facturation et même proposer un service de paiement en ligne, par virement ou carte bancaire.