Skip to main content

5 conseils pour décrocher votre première mission en freelance

Si l’entrepreneuriat séduit de plus en plus, il n’est pas toujours facile de se lancer. Comment sortir du lot et se faire remarquer auprès des entreprises quand on débute une activité d’indépendant ? Découvrez les bonnes pratiques à mettre en place et les démarches à effectuer pour démarrer avec succès le freelancing.

1. Optez pour le bon statut juridique

Avant de commencer à démarcher les entreprises, il vous faut choisir le bon statut juridique. L’objectif ? Créer votre société selon un cadre légal et administratif sûr qui vous permettra d’éditer des factures, de déclarer un chiffre d’affaires et de bénéficier d’une protection sociale.
Vous pouvez décider de vous immatriculer en SASU, EURL, micro-entrepreneur, ou de passer par le portage salarial. Renseignez-vous auprès de l'URSSAF pour trouver le statut juridique qui correspondra le mieux à vos besoins et à vos attentes. Par exemple, avec un statut de micro-entrepreneur, vos obligations comptables sont réduites au minimum et vous n’avez pas de TVA à payer. 
 
Si vous avez opté pour une EURL, n’oubliez pas d’ouvrir un compte bancaire professionnel, obligatoire pour y déposer le capital social et donc se faire immatriculer.

2. Définissez votre positionnement

Offre, expertise, prospection, valeur ajoutée… Faites le point : réfléchissez à votre stratégie et à ce que vous allez pouvoir apporter à vos clients avant de vous lancer. 
 
Définissez votre juste prix en fonction de votre expertise et de la situation du marché. Dans cette optique, identifiez les tarifs pratiqués par vos concurrents et déterminez un taux journalier moyen que vous adapterez ensuite à la mission visée et à la situation de l’entreprise concernée. 
 
Un freelance doit arriver avec des solutions et des idées clés en main. L’objectif ? Rassurer les clients avec une offre claire et une expertise pointue.

3. Créez votre profil sur des plateformes de missions

Malt, Upwork, 404works, Yoss, Crème de la Crème… Ciblez les plateformes spécialisées dans le freelancing et soignez la présentation de votre profil. Renseignez vos compétences, vos expériences, vos tarifs et vos disponibilités.
 
Optimisez le référencement de votre profil pour booster votre visibilité dans le moteur de recherche de la plateforme de missions, mais également sur les moteurs de recherches externes comme Google. Pour ce faire, enrichissez régulièrement votre profil, utilisez des mots clés pertinents, répondez systématiquement aux messages reçus et incitez vos contacts à déposer des recommandations.
 
2021-03/Generali-Illustrations-Auto-entrepreneur-01.jpg

4. Communiquez sur les réseaux sociaux

Mettez à jour et soignez votre profil LinkedIn, partagez des articles pertinents et intégrez un lien vers votre book et votre portfolio. 
 
Inscrivez-vous à des groupes de discussion consacrés à votre spécialité et participez à des échanges pour augmenter votre visibilité et démontrer votre expertise.
 
Selon votre spécialité, développez votre visibilité à travers les stories LinkedIn, Instagram ou Facebook, pour partager des communications instantanées. Les stories se révèlent par exemple très utiles pour partager en direct un projet en cours, ou une réalisation récente.

5. Tissez votre réseau

Faites appel à votre entourage et faites marcher le bouche-à-oreille : famille, amis, anciens collègues, anciens clients, anciens élèves… Repérez les personnes qui pourraient vous ouvrir les portes vers de nouveaux contacts professionnels.
 
Meetup, Facebook, Weezevent, Eventbrite, webinars… : participez à des événements virtuels ou physiques pour vous faire remarquer et rencontrer des personnes qui ont les mêmes intérêts que vous. 

Enfin, soignez toujours votre entrée en relation avec vos potentiels clients et restez professionnel. Prenez le temps de bien étudier leurs demandes afin de leur apporter une réponse personnalisée.  

(1) Les auto-entrepreneurs fin juin 2020, Acoss Stat, janvier 2021

Partager

Informations non-contractuelles données à titre purement indicatif dans un but pédagogique et préventif. Generali ne saurait être tenue responsable d’un préjudice d’aucune nature lié aux informations fournies.