Publié le 19/04/2019
L’Entreprise individuelle est intéressante si vous êtes seul, si votre activité présente peu de risques et si votre investissement est limité. 70 % des créateurs d’entreprise l’ont choisi en 2016, dont 51% sous le régime de la microentreprise. Attention, dans le cas d’une EI, vous êtes responsable à titre privé de vos dettes professionnelles.
L’immatriculation doit être réalisée auprès de la chambre de commerce ou d’industrie ou de la Chambre de métiers et de l’artisanat selon le type de votre activité.
Ce sont les statuts les plus simples à gérer. Vous disposez des pleins pouvoirs pour diriger votre entreprise et vous n’êtes pas obligés de prendre un comptable.
Votre entreprise n’est pas imposée. Si vous êtes micro-entrepreneur, et si vos revenus ne dépassent pas le seuil prescrit1, vous pouvez demander le versement libératoire de l’impôt : un régime d’impôt avantageux qui vous permet de bénéficier d’un taux intéressant et de cotiser auprès d’un seul interlocuteur.
Vos cotisations sont calculées sur la base de votre bénéfice imposable ou de votre chiffre d’affaires si vous êtes micro-entrepreneurs. Vous n’avez pas droit à l’assurance chômage.
1 Ce seuil dépend de la nature de l’activité exercée et est destinée à évoluer. Pour en savoir plus : www.service-public.fr
EURL et SARL sont des statuts souvent adoptés par les entrepreneurs : leur gestion est relativement simple.
La création d’une SARL est plus complexe qu’une EURL : en plus des statuts, il vous sera demandé un certain nombre de documents, à vous et à vos actionnaires : pensez à prévoir un budget de 300 à 400 euros pour ces formalités de création.
Pour la SARL comme pour l’EURL, le capital social est variable et devra être mentionné dans les statuts. Ceux-ci sont obligatoires et doivent être notifiés par écrit. Vous y organisez librement le fonctionnement de la société.
S’il n’y a qu’un associé, vous, il s’agit alors d’une EURL ou d’une SARL unipersonnelle. Sinon, le nombre d’associés maximum est de 100. Leur responsabilité est proportionnelle au montant de leur apport.
Si vous n’endossez pas vous-même ce rôle, vous devrez également désigner un gérant, qui sera alors travailleur non salarié, affilié au régime général, mais qui n’aura pas droit à l’assurance chômage.
Vous devrez également produire annuellement un inventaire, des comptes annuels, un rapport de gestion ainsi qu’une déclaration de résultats. Il vous sera donc indispensable de prendre un comptable.
Les bénéfices seront imposés par l’impôt sur les sociétés. Les dividendes perçus par les associés seront soumis à l’impôt sur le revenu.
EURL et SARL sont des statuts souvent adoptés par les entrepreneurs : leur gestion est relativement simple.
La création d’une SARL est plus complexe qu’une EURL : en plus des statuts, il vous sera demandé un certain nombre de documents, à vous et à vos actionnaires : pensez à prévoir un budget de 300 à 400 euros pour ces formalités de création.
Pour la SARL comme pour l’EURL, le capital social est variable et devra être mentionné dans les statuts. Ceux-ci sont obligatoires et doivent être notifiés par écrit. Vous y organisez librement le fonctionnement de la société.
S’il n’y a qu’un associé, vous, il s’agit alors d’une EURL ou d’une SARL unipersonnelle. Sinon, le nombre d’associés maximum est de 100. Leur responsabilité est proportionnelle au montant de leur apport.
Si vous n’endossez pas vous-même ce rôle, vous devrez également désigner un gérant, qui sera alors travailleur non salarié, affilié au régime général, mais qui n’aura pas droit à l’assurance chômage.
Vous devrez également produire annuellement un inventaire, des comptes annuels, un rapport de gestion ainsi qu’une déclaration de résultats. Il vous sera donc indispensable de prendre un comptable.
Les bénéfices seront imposés par l’impôt sur les sociétés. Les dividendes perçus par les associés seront soumis à l’impôt sur le revenu.