Quelles sont les agglomérations concernées ?
La taxe ne touche que les logements vacants situés dans les "communes appartenant à une zone d'urbanisation continue de plus de 50 000 habitants où existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements, entraînant des difficultés sérieuses d'accès au logement sur l'ensemble du parc résidentiel existant".
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A noter : un simulateur est mis à disposition en ligne, il permet de déterminer la zone dans laquelle se situe le logement.
Quels sont les logements concernés ?
Il s’agit des logements habitables, c’est-à-dire d’appartements ou de maisons ayant des éléments de confort minimum (installation électrique, eau courante, équipements sanitaires, etc.) et vides de meubles (ou mobilier insuffisant pour en permettre l’habitation).
Ces logements doivent également être vacants depuis au moins 1 année consécutive au 1er janvier de l’année d’imposition.
La taxe sur les logements vacants est due par le propriétaire du logement. En cas de démembrement de la propriété du bien, c’est l’usufruitier qui devra s’en acquitter. Enfin, dans l’hypothèse d’un bail à construction, d’un bail à réhabilitation ou d’un bail emphytéotique (bail de très longue durée), c’est le preneur qui est redevable.