Pour le trekking en haute montagne, il est préférable de s'entraîner à marcher en altitude avant le séjour. Enfin, choisissez un itinéraire adapté à vos capacités, ou celles du randonneur le moins entraîné si vous partez à plusieurs.
Publié le 02/11/2018
Randonnées d'un jour ou trekking sur plusieurs semaines, été comme hiver, l'engouement pour les activités en montagne ne se dément pas. Une tendance qui comprend malgré tout quelques risques, et peut causer des accidents. Avant de partir, adoptez les bons réflexes : quel équipement ? Quelles précautions ? Quelles assurances spécifiques ? Nos conseils pour profiter pleinement des sentiers.
Pour le trekking en haute montagne, il est préférable de s'entraîner à marcher en altitude avant le séjour. Enfin, choisissez un itinéraire adapté à vos capacités, ou celles du randonneur le moins entraîné si vous partez à plusieurs.
En montagne, ne laissez rien au hasard.
Vous montez à plus de 2 000 mètres d’altitude ? Attention au mal aigu des montagnes. Ce phénomène, dû à la raréfaction de l’oxygène dans l’air, peut provoquer des troubles tels que maux de têtes, vertiges, nausées, vomissements...
Pour lutter contre le mal des montagnes, une seule solution : grimper doucement. A partir de 1 700 m, évitez de gravir plus de 700 m par jour.
Si les symptômes persistent toujours au bout de 2 jours, mieux vaut redescendre et consulter un médecin.
Frais de recherche, frais de location en cas de bris de skis ou de chaussures, frais médicaux en cas d’accident... Vous bénéficiez peut-être déjà de ces garanties spécifiques dans le cadre de vos contrats actuels.
Le cas échéant, vous pourrez souscrire des garanties spécifiques « Neige et Montagne » auprès de votre assureur.