Publié le 09/05/2019
La pollution sonore est la conséquence des effets produits par des phénomènes acoustiques, plus ou moins forts, sur la santé. Ces troubles vont de la gêne momentanée à des maux plus graves comme la surdité permanente et irréversible. Selon l’Organisation mondiale de la santé, 1,1 milliards d’adolescents et de jeunes adultes sont exposés au risque de déficience auditive en raison d’une exposition à des niveaux sonores nocifs.
Le décret du 7 août 2017 relatif à la prévention des risques liés aux bruits et aux sons amplifiés a permis d’abaisser les seuils autorisés dans les lieux diffusant des sons amplifiés (boîtes de nuit, bars, salles de concert, festivals en plein air, salles de cinémas…), d’informer le public sur les risques auditifs et de mettre à disposition des protections auditives individuelles gratuites. Des contrôles ont été renforcés pour mieux protéger les habitants proches de ces lieux.
Que le niveau sonore soit trop élevé ou qu’il coure sur une longue période, il peut entraîner des effets néfastes sur la santé tels que :
Au travail :
En openspace, la pollution sonore peut être importante. Munissez-vous d’un casque antibruit et n’hésitez pas, à l’heure de la pause déjeuner ou au cours de la journée, à faire une pause pour vous isoler dans un endroit plus calme
Lors de vos loisirs :
Selon un sondage IFOP réalisé en 2014, 86 % des Français se plaignent des nuisances sonores à leur domicile.
La perte auditive est généralement progressive. C’est pourquoi, il est recommandé de consulter un médecin ORL chaque année.
Certains signent doivent vous alerter :
N’attendez pas que cela passe, rendez-vous chez un spécialiste.
Sources