Préserver votre avenir et celui de vos proches
Près de 14,8 % des décès surviennent avant 65 ans : ces décès prématurés représentent 19,5% des décès masculins contre 10,5% des décès féminins.
Protégez vos proches financièrement et de manière durable : aidez les à couvrir les premières dépenses et à maintenir leur niveau de vie.
À la signature, vous choisissez le montant du capital décès que vous souhaitez transmettre à vos proches.
Generali s’engage à verser le capital aux bénéficiaires de votre choix si vous veniez à disparaître.
Cette option signifie que le montant du capital qui doit être versé à votre décès sera doublé si vous décédez suite à un accident.
Vous désignez librement votre (vos) bénéficiaire(s).
Le montant de votre cotisation est déterminé au moment de la signature du contrat : il reste fixe durant toute la durée du contrat, hors critères fumeur-non fumeur et changement de taxe.
Les cotisations versées sont exonérées d'impôt dans la limite de 152 500€.
En cas de perte totale et irréversible d’autonomie ou d’invalidité lourde, Generali s’engage à vous verser le capital déterminé à la souscription. Et ce jusqu’à vos 67 ans.
L'assurance décès est une assurance.
L'assurance vie est une solution d'épargne.
Contrairement à l’assurance vie, le versement des primes pour une assurance décès est à fonds perdus. Par conséquent, si vous décidez de clôturer votre assurance décès, vous ne pouvez pas percevoir de capital équivalent aux versements des primes.
Le coût de l’assurance décès varie selon les contrats et du montant du capital à reverser aux bénéficiaires.
Le coût des cotisations dépend également de votre situation personnelle :
Source : economie.gouv.fr
Le capital versé aux bénéficiaires n’entre pas dans la succession et n’est donc pas soumis aux droits de succession. Mais cette exonération reste soumise à condition.
Les cotisations versées après vos 70 ans sont réintégrées dans votre succession et imposables avec le reste de votre patrimoine.
De même, le capital reversé aux bénéficiaires peut être soumis à l’impôt sur le revenu.
Source : economie.gouv.fr